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Sur ce blog, j'ai eu envie
de vous
faire découvrir
un petit
peu la REUNION.
Je suis
certaine que vous
la connaissez déjà mais
vu que c'est le pays
dont je suis
originaire, c'est donc
normal
que j'en
parle un peu ^_^
je suis en métropole.
Je n'ai pas la chance
comme certains
de vivre la-bas,
mais ce pays,
je le connais bien.
Cela dit entendons

nous bien,
mon but n'est pas
de faire un site
sur cette île mais
uniquement un espace lui
étant consacré
(sans prétention aucune).
Les informations que
vous y trouverez
sont donc assez
succintes
mais je pense suffisamment
explicites pour
vous donner envie
de faire
un tour sur mon île...
et en plus
en photos !

PS: Reunionpassion
est présent sur la
toile depuis fin 2005.

*Bonne visite!*



Livre d'Or:







 Et le Forum du blog :





Sites généralistes:












iledelareunion.net

LogoSaveur01.jpg
  



       
3 décembre 2006 7 03 /12 /décembre /2006 18:21
En ce moment je ne suis pas très bavarde dans la rédaction de mes articles, mais Juste une petite anim et un diapo pour remercier tous mes visiteurs ; eh oui merci à vous et merci à ceux qui me laissent des comms et des messages dans mon livre d'or...cela me touche beaucoup !






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1 décembre 2006 5 01 /12 /décembre /2006 11:31
Juste de quoi faire rêver, cela devrait suffire....



merci  pour vos commentaires.
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28 novembre 2006 2 28 /11 /novembre /2006 18:39
Un fruit que j'adore, qui va être bientôt de saison à la Reunion... moi pas à la Reunion donc pas pouvoir goûter ces petits trésors...non non j'irai pas en chercher dans les hypermarchés...je vous entends déja...lol ...


Le litchi, ou letchi, du chinois 荔枝 ou en pinyin lìzhī, (Litchi chinensis ou Nephelium litchi) est un petit arbre de la famille des sapindacées d'origine chinoise, cultivé depuis plus de 4 000 ans.

Description
Le fruit que l'on désigne du même nom est constitué d'une écorce rose qui brunit avec la maturation du fruit et comportant des écailles (le fruit au sens botanique du terme), sous laquelle se trouve la partie habituellement consommée, une matière gélatineuse blanche. Notez bien que ce n'est pas à proprement parler le fruit que l'on consomme, mais une production du tégument de la graine, l'arille. Le litchi est un arbre majestueux pouvant mesurer entre 12 et 20 mètres, mais aussi un fruit délicieux et rare à découvrir!

Histoire
Le litchi a été décrit par Pierre Sonnerat (1748-1814) au retour de son voyages en Asie du sud-est et en Chine.
Il a été introduit à la Réunion en 1764 par Joseph-François Charpentier de Cossigny de Palma. Sur l'île, on l'appelle letchi.


Production
Originaires de Chine, on y dit que les meilleurs litchis (selon les dires d'une impératrice chinoise (probablement Yang Guifei)) sont ceux de la province du Guangdong, mais on en cultive également aujourd'hui à la Réunion et, en grande quantité, à Madagascar, pays dans lequel la majeure partie de la production est exportée en France.

Utilisation

Dans la pharmacopée chinoise Semen Litchi "Li Zhi He", est recommandé pour ses propriétés : astringente, antalgique, stomachique (douleurs gastriques, transit intestinal) et tonique. Les graines contiennent des saponosides et sont riches en acides gras cyclopropaniques. L'industrie pharmaceutique occidentale, en a extrait une levure (ultra-levure) utilisée lors des traitements antibiotiques et qui protégerait, favoriserait la flore intestinale mise à mal par les antibiotiques.
Le letchis est comestible.

Culture
Le litchi nécessite un environnement humide et le substrat ne doit jamais entièrement sécher. La plante est très sensible au manque d'eau. Il est possible de cultiver le litchi en plantant deux clous au sommet d'un noyau (en veillant à ne pas l'endommager trop en profondeur) et en mettant la base du noyau dans l'eau. La racine sort du côté plat du noyau au bout de quelques semaines. L'eau doit être changée régulièrement et la racine peut mettre plusieurs mois avant de vraiment démarrer sa croissance. On peut ensuite transplanter le noyau dans un substrat aéré et humide. La racine étant très fragile, il faut bien faire attention lors de cette opération. Les fruits n'apparaîssent qu'après 4 à 5 ans.


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25 novembre 2006 6 25 /11 /novembre /2006 10:47
Ou le retour de l'envoyé spécial .
Je sais je sais, je devrais le rémunérer..LOL... je crois que ça lui fait plaisir de vous faire partager ses prises de vue  !! Merci à toi cher reporter :0008:


La famille des phaéthontidés (ou Phaethontidae) est la famille desphaetonsoiseaux de mer de taille moyenne (de 70 à 105 cm, en ce compris 30 à 56 cm pour les rectrices médianes), aussi appelés oiseaux du(des) tropique(s). Ils ont les ailes longues et étroites, et les plumes centrales de la queue sont très allongées, ce qui leur vaut le nom de paille-en-cul, paille-en-queue, ou fétu-en-cul.
Largement pélagiques, on les rencontre dans toutes les zones océaniques tropicales dont la Reunion.,


Pour les suivantes, Cliquez sur les miniatures pour voir en taille réelle !!

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N'oubliez pas que le forum existe, il est tout nouveau donc y'a pas grand chose; mais la-bas on y est entre nous. Merci (Vous pouvez même vous envoyer des ptits messages privés entre vous alors c'est pas beau ça?).
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21 novembre 2006 2 21 /11 /novembre /2006 12:37

Si ça vous plait , un petit comm ne serait pas de refus...bien à vous.



 
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13 novembre 2006 1 13 /11 /novembre /2006 15:19
Je stoppe la le jeu, je vous remercie d'avoir bien pris la peine de voter, le gagnant est Nicolas M !! Bravo très joli calligramme ; merci à toi pour ce petit effort.
Le voici donc en évidence pour tous nos visiteurs... bises

C'est une île qui parfois sent très bon le jasmin,
Les embruns, le benjoin et parfois le ti-join.

 C'est une île aux ravines peuplées de drôles d'oiseaux,
De détritus en lots, de déchets comme fardeaux.


 C'est une île où les cirques se jouent sans clowns blancs,
Où les pentes béantes nous réduisent à néant.


 C'est, pour le Robinson, une île quatre étoiles
Pour couvrir le papier ou dessiner la toile.


 C'est une île percée de jolies petites cases
Où résonnent en échos le créole en phrases.


C'est une île où les embouteillages
Laissent le temps au temps et l'âge à l'âge.


C'est enfin une île qui se parcoure à deux,
Bien trop grande pour qui n'a que deux yeux.



PS / Bravo également à Emmanuelle en seconde position, à un moment la lutte fut serrée !! lol

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11 novembre 2006 6 11 /11 /novembre /2006 18:04
Voici un (bout d') article sur l'éruption musicale à la Reunion que j'avais lu sur le net, je l'avais trouvé interessant donc je vous en fait part...
De la scène réunionnaise, certains connaissent le maloya brut de Danyel Waro et d’autres le ragga potache de String Color. Deux extrêmes qui illustrent les différentes facettes de la production discographique en pleine évolution sur cette île française située en plein cœur de l’océan Indien

Une chanson de l’océan Indien en tête des ventes de singles en France ? Difficile à imaginer. Lorsque l’improbable se produit à la fin de l’été 2005 et que le groupe seychellois Dezil fait carton plein avec San ou (la rivière), une chanson qui n’a rien de plus ni de moins que de nombreuses productions sorties des studios de cette région du monde, on se dit que cela va générer un effet d’entraînement, susciter de réels espoirs dans les milieux musicaux des îles voisines, réveiller des ambitions qui relevaient jusqu’alors du fantasme inavouable et déraisonnable. Mais bizarrement, le phénomène Dezil passe inaperçu à La Réunion. A la même époque, sur ce département français d’outre-mer, les regards sont tournés vers la métropole et le château de la Star Academy qui accueille une pensionnaire réunionnaise. Pendant près de trois mois, toute l’attention de l’opinion publique et des médias locaux est monopolisée par les aventures d’Émilie dans le célèbre téle-crochet diffusé par TF1. A défaut d’être parvenu en finale, la malheureuse candidate sait toutefois qu’elle peut compter sur le public de son île pour débuter sa carrière. Même si les prétendants au succès y sont de plus en plus nombreux.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 1997, la production discographique réunionnaise s’élevait à 70 albums. Cinq ans plus tard, elle avoisinait les 300 albums et devrait se situer encore à ce niveau en 2005. Cette très forte progression reflète les récentes mutations structurelles qui ont bouleversé l’industrie musicale de l’île. Longtemps, elle a fonctionné suivant un schéma simple : Discorama, Piros et Oasis, les trois principales maisons de disques, se partageaient un marché qu’elles contrôlaient depuis l’enregistrement, grâce aux studios qu’elles possèdent, jusqu’à la distribution. Pour les artistes, aucun salut n’était envisageable en dehors de cette voie.

Mais cette situation figée a brusquement explosé avec l’avènement de la technologie numérique. Le matériel est devenu accessible, les home-studios se sont multipliés et la logique d’auto production, impensable auparavant, s’est alors imposée comme une alternative crédible. Aujourd’hui, si elle représente environ 40% de la production, c’est aussi parce que les collectivités locales sont disposées à verser des subventions aux groupes qui réalisent leur premier album.

Sur cette île de 750 000 habitants où près de la moitié de la population à moins de vingt ans et où le taux de chômage est trois fois plus élevé qu’en métropole, la musique occupe une place particulière. Déjà, au début des années 90, le conseil général s’était distingué en créant les CES (contrat emploi solidarité) musique et finançant ainsi 400 jeunes musiciens. Mais ils sont peu nombreux à La Réunion à pouvoir vivre de leur art. A l’insularité s’ajoute une autre contrainte : l’isolement géographique. Paris est à 10000 kilomètres et seuls les poids lourds de la scène réunionnaise tels que Danyel Waro, Ziskakan ou Baster, de retour au premier plan avec l’album Lèv, sont régulièrement appelés à jouer loin de chez eux. Sur place, le nombre de concerts et les ventes de disques restent naturellement limités.

Romantisme, sega et Bollywood

Avec son sega romantique, Dominique Barret a réalisé le meilleur score de l’année en écoulant plus de 10000 exemplaires de son album Si ou di oui. Le succès s’est même étendu à l’île Maurice, un fait exceptionnel qui montre que les efforts pour développer les liens entre les îles de la région et décloisonner les marchés sont peut-être en train de donner leurs premiers fruits. Parée de couleurs bollywodiennes grâce à la présence de la Mauricienne Meera Mohun, sa chanson Mon cœur épris s’inscrit également dans un courant très en vogue à La Réunion.

Depuis
le début 2005, les émissions consacrées par RFO (Réseau France outre-mer) à la musique des films indiens ont généré et entretenu une véritable mode. Jusque dans le rap-ragga, à l’image de Dosti et La la la, signés par deux artistes qui font partie des meilleures ventes de l’année, Benjam et Atep. Ce dernier a même été repéré par une major du disque qui a timidement tenté de lancer l’artiste en métropole. En vain.

Le vent du zouk love venu des Antilles, qui s’était étrangement mis à souffler au milieu des années 90 en plein océan Indien, a été remplacé par le ragga dont la jeunesse réunionnaise est très friande. Originaire lui-aussi des Caraïbes, ce genre musical s’est adapté à son nouvel environnement pour devenir une “musique soleil”, légère. Quitte à tomber parfois dans une facilité aussi drôle que pathétique. Dans ce registre, String Color excelle. Après son tube de 2004 Ragga string ("Kafrine, quelle est la couleur de ton string ?") qui l’a amené dans le giron de la maison de disques Universal, le groupe a connu une belle réussite avec La Ficelle puis Chou à la crème, qui rivalisent de métaphores plus potaches les unes que les autres...

Diversité musicale

L’ouverture au monde de La Réunion, à travers la mondialisation et l’essor d’Internet, se ressent jusque dans la musique. "La diversité musicale ne cesse de s’affirmer", fait observer Alain Courbis, à la tête du Pôle régional des musiques actuelles (PRMA), une structure qui oeuvre au développement des musiques de l’île. Le reggae, le rock, le jazz et depuis peu l’électro ont été adoptés par de nombreuses formations, mais les styles traditionnels demeurent d’incontournables sources d’inspiration.

Entre le maloya, blues de l’esclavage aux origines culturelles afro-malgaches, et le sega, produit d’un métissage dansant avec les styles européens d’autrefois, le rapport de forces s’est inversé depuis 1981. Durant des décennies, le sega a régné en maître. Suspecté par les autorités politiques de véhiculer les revendications identitaires du Parti communiste réunionnais, le maloya se pratiquait dans la clandestinité. Dès qu’il a retrouvé droit de cité, il a tout à coup été érigé en symbole musical de la réunionnité. "Le musicien qui n’en faisait pas passait presque pour un traître !", raconte Alain Courbis. L’engouement ne s’est jamais démenti.

En 2004-2005, en l’espace de huit mois, le monde du maloya a perdu trois de ses aînés :le Rwa Kaf, Granmoun Lélé et Granmoun Bébé. Une génération qui sert de référence est en train de disparaître. La relève est là : Destyn, Kiltir, El Diablo Melanz Nasyon… Moins revendicative, elle essaie de donner à ses prestations une dimension spectaculaire comme le faisait Granmoun Lélé afin de supprimer cette impression de monotonie qu’elle dégage. Avec leur répertoire, ces jeunes artistes cherchent à projeter le maloya dans les musiques du monde pour lui donner une plus grande visibilité sur le circuit international. Apporter un peu de sang neuf sans dénaturer la tradition, c’est là que réside toute la difficulté de cette alchimie.

Bertrand Lavaine


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10 novembre 2006 5 10 /11 /novembre /2006 15:20
Ce soir un article consacré à un pirate très célèbre des Mascareignes :
 

Olivier Le VASSEUR, dit la BUSE

Olivier Le Vasseur plus connu sous le nom de "La Buse", surnommé ainsi en raison de sa rapidité à fondre sur sa proie est un authentique pirate.

   Qui de plus authentique que le pirate La Buse ?!
Son trésor est un butin à perles, diamants, or et vaisselles d'argent, un vrai pirate pendu haut et court, des messages codés, des grottes et une île mystérieuse, des plans ou foisonnent des cachettes !

La Buse, pirate célèbre écuma l'océan Indien au début du 18ème siècle. Il aurait caché un trésor estimé à 4,5 milliards d'euros quelque part à La Réunion. Aujourd'hui encore, des chercheurs et des scientifiques se lancent à la recherche de ce trésor précieusement conservé depuis plus de 280 ans.

Olivier Levasseur est né à Calais à la fin du XVIIè siècle. En 1721, La Buse est associé au pirate anglais Taylor. Ils se sont emparé au mois d'avril du riche vaisseau portugais de 72 canon La Vierge du Cap qui avait cherché refuge contre les tempêtes dans le port de Saint-Denis (île Bourbon).
A bord du vaisseau se trouvaient le comte Ericeira, vice-roi des Indes et l'archevêque de Goa. La Buse n'exigea pas de rançon du vice-roi, mais fit main basse sur les objets d'inéstimable valeur : rivières de diamants, bijoux, perles, barres d'or et d'argent, meubles, tissus, vases sacrés et cassettes de pierres précieuses, et la crosse d'or de GOA constellée de rubis pesant une centaine de kilos, le tout évalué à 4,5 milliards d'euros.
La Vierge du Cap, radoubée et remise à neuf, devint le vaisseau de La Buse et prit le nom de Le Victorieux.
Mais l'année d'après, Duguay-Trouin et le commodore anglais Matthews vinrent se chercher querelle dans les parages. La Buse et Taylor se sont méfiés et ont préféré prendre "le large". Taylor s'enfuit aux Antilles et La Buse se retira à l'île Sainte-Marie près de la côte de Madagascar.

Il prit sa retraite, car la piraterie n'était plus possible avec aux trousses un gaillard de la trempe de Duguay-Trouin, dont le pavillon flottait glorieusement de l'Equateur au cap de Bonne-Espérance.
La plupart des écumeurs des mers cessèrent également toute activité et devinrent d'assez paisibles citoyens en profitant de la Charte de clémence offerte par le roi de France. Leurs bateaux pourrirent dans les anses et la piraterie disparut.
Presque seul, La Buse temporisa avant d'accepter la Charte, restitua les vases sacrés, mais ne put se résoudre à rendre le butin de La Vierge du Cap, condition de la clémence.
Il est certain qu'il cacha son trésor...mais où ?
On a avancé le nom de 6 îles : Maurice, La Réunion, Frigate, Mahé, Rodrigues, Sainte-Marie.
Dans tous les cas, c'est à Sainte-Marie que vivait Levasseur, en situation irrégulière mais sans grand danger immédiat... parlant de soumission sans se hâter de conclure.
Vers 1729, exerçant le métier de pilote dans la baie d'Antongil (Madagascar), il offrit des services au vaisseau La Méduse, de la Compagnie des Indes, qui voulait entrer dans le port.
Le Capitaine d'Hermitte, commandant de bord, le reconnut, et se souvenant que le pirate avait maintes fois arraisonné des navires de sa compagnie, il l'arrêta.

Le 7 juillet 1730, La Buse était condamné à mort à 17h.
Quand il monta sur l'échafaud pour expier ses crimes de pirate, Olivier Levasseur, dit La Buse, lança dans la foule un cryptogramme et s'écria :
- "Mes trésors à qui saura comprendre !"

Voici donc La Buse pendu, le cryptogramme lancé dans la foule, et le trésor caché offert aux plus malins.
Qui ramassa le message secret ?
Nul ne saurait le dire, mais depuis plus de deux siècles, l'océan Indien, des îles Seychelles à la pointe de Madagascar, est le centre de recherches incessantes et foisonne de documents à clés, de rébus et de signes gravés qui tous, selon la tradition, se rapportent aux prodigieux trésors de La Buse.

source= pirates-corsaires.com

Nul ne serait affirmer qu'Olivier Le Vasseur repose vraiment dans la sépulture qui lui est attribuée au cimetière marin de Saint-Paul. Mais où que soit sa tombe, la Buse y repose avec son secret, le lieu où serait caché son trésor sur l'île Bourbon.


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6 novembre 2006 1 06 /11 /novembre /2006 18:07
 

 
 

Comme promis voici la suite des photos de l'Epave sous marine qui se trouve au large de St-Gilles et à -55mètres...

Bon ben la je crois que j'ai assez posté de photos sous marines lol; je rouvrirai le "dossier" un peu plus tard !

 

--Merci encore à Willy--

 

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5 novembre 2006 7 05 /11 /novembre /2006 14:58
     LES FONDS MARINS A LA REUNION

De part la jeunesse de l'île, l'activité corallienne n'a pas encore édifié un large lagon, ceinturant la terre à l'image de la voisine île Maurice.

Au dehors des lagons, le plancher océanique tombe hâtivement vers les profondeurs. C'est sur cette pente abrupte du récif que se trouve l'activité marine. Là, faune et flore rivalisent de mouvements et de couleurs pour mettre en scène un véritable ballet subaquatique.

La Réunion offre aux plongeurs un domaine de caractère tropical : eau à 27°C et bleu intense. L'océan indien est très poissonneux. Thons, barracudas, marlins, espadons, dorades coryphènes s'y cotoient et il n'est pas rare d'apercevoir des dauphins et, durant l'hiver austral, des petites baleines. Les squales, eux, sont très rares sur les sites de plongée.

Les récifs coralliens sont vivants et constituent une immense ressource biologique des mers et des océans. Le récif est le résultat d'une symbiose communautaire de plantes et d'animaux du passé et du présent. Des architectes du littoral !

Voici des photos prises par mon fidèle reporter je ne vous dirai pas qui à vous de deviner ; mais si si vous le connaissez.




Livres conseillés :
*-L'or bleu de l'île de La Réunion par Serge Gélabert 
*-Merveilles sous-marines, la vie récifale à La Réunion -par Thierry Soriano et James Caratini
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